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De Toutes les Douleurs !

Derniers commentaires
12 septembre 2006

Blague du 11 Septembre...

               Bill Clinton, Al Gore et Georges Bush se retrouvent tous les trois au Paradis et sont reçus par Dieu lui-même.

          Dieu s'adresse d'abord à Al Gore:

- Al, en quoi est-ce que tu crois ?

- Je crois que le moteur à explosion est une invention du démon.Je crois aussi qu'il faut protéger le monde contre les CFC et que si l'on utilise encore des fréons ou autres machines de guerre, le monde ne sera plus qu'une vaste serre, et tous les terriens mourront...

Dieu reste pensif puis il dit:

-C'est bon, viens ici et assieds-toi à ma gauche.

Puis Dieu s'adresse à Bill et lui demande:

- Bill, en quoi crois-tu ?

- Je crois en l'homme et en sa puissance. Je crois que l'homme devrait être capable de faire ses propres choix et que personne ne devrait lui dicter ce qu'il doit faire.

Dieu reste pensif puis il dit:

-C'est bon viens ici et assied toi à ma droite.

Puis Dieu s'adresse à Georges et lui demande:

-Et toi Georges, en quoi crois-tu ?

- Je crois que vous êtes assis à ma place !...   

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8 septembre 2006

Dance ! God has blessed you with another day.

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                  07/09/2006 15:40

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              Dance! God has blessed you with another day.

Never forget to live life to the fullest.It is a gift that does not need to be squandered, <br>

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Violette <br>

www.violettereid.com (come check me out!)

21 août 2006

Croix Le !

CRS         Croix

" Les Hommes naissent libres et égaux en droit . Dommage que cela ne continue pas aprés !..."

                                                    Patrick Bosso .

19 juillet 2006

A Votre Avis ?!

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9 juillet 2006

Magnifique Effort de la NASA pour tirer sur un joint !

          DISCOVERY: PREMIERE SORTIE SPATIALE REUSSIE    POUR DEUX ASTRONAUTES !...

              Deux astronautes de Discovery ont conclu samedi avec succés la premiére sortie dans l'espace de la mission pour tester une technique acrobatique permettant d'accéder si nécessaire au ventre de la navette pour réparer son bouclier thermique en orbite.

                Un responsable de la NASA s'est aussi montré optimiste samedi en fin de journée de pouvoir déclarer Discovery sans dommage sérieux pouvant empêcher son retour sur Terre ou requérir une opération en orbite.

              Les deux derniers soucis de la NASA sont un morceau de tissu isolant dépassant prés d'un hublot et...un joint qui ressort entre deux tuiles du bouclier thermique sous le ventre de la navette.

           Steve Poulos s'est cependant dit optimiste que cela ne devrait pas poser de probléme une fois que les analyses thermiques et d'aérodynamisme auront été conduits par les ingénieurs.

            Si ce joint devait être tiré,il a dit que la seule maniére de procéder, vu son emplacement, serait de percher un astronaute à l'extrémité de la rallonge du bras robotique de Discovery, comme testé aujourd'hui par Michael Fossum et Piers Sellers, deux membres de l'équipage de la navette. Avec cet ajout, le bras mesure 30 métres.

     "C'est un jour magnifique en Irlande", avit lancé Piers Sellers, anglais d'origine, alors qu'il se trouvait à la verticale des îles britanniques, selon les images retransmises en direct par la télévision de la NASA.

    "Cela devient plus facile", a-t-il dit alors qu'il se trouvait au bout de la perche, en simulant une réparation."Un peu plus d'entraînement et cela sera parfait ou au moins acceptable", a-t-il ajouté.

       Le bras a été ensuite manoeuvré depuis l'intérieur de la navette par les astronautes Stéphanie Wilson et Lisa Nowak, l'ingénieur de vol, pour ramener Piers Sellers dans la soute de l'orbiteur.

          Mike Fossum l'a ensuite rejoint tout au bout du bras et de sa rallonge, pour ensuite repartir lentement se positionner au-dessus de la navette et y tester la stabilité de la rallonge.

       "La rallonge est beaucoup plus rigide que ce qu'on attendait", a noté un commentateur de la NASA au Centre de contrôle de la mission à Houston (Texas, sud).

         Développer des techniques de réparation du bouclier thermique de la navette en orbite est devenue une priorité de la NASA aprés l'accident de Columbia le 1er février 2003, provoqué par...un morceau de mousse isolante de 700 grammes du réservoir externe, qui a percé la protection thermique de son aile gauche.

           L'administrateur de la NASA, Michael Griffin, s'appuiera sur les résultats de cette derniére sortie dans l'espace pour décider cet automne d'une ultime mission d'entretien et de réparation de Hubbles, premier télescope de l'espace, qui a révolutionné l'astronomie et la vision de l'univers.

          Le bras robotisé ainsi rallongé permettrait une réparation de la navette en orbite même si elle n'est pas amarrée à l'ISS (International Space Sation ).Lors de la précédente mission de Disvovery en juillet 2005, la NASA avait décidé de faire sortir un astronaute pour aller tirer sur un joint qui dépassait entre deux tuiles thermiques, ce qui était la premiére réparation d'une navette en orbite.

          Cette marche spatiale est la premiére d'une série de trois programmées pour le premier vol de la navette en prés d'un an et le second depuis la catastrophe de Columbia en 2003.La deuxiéme sortie de ces deux astronautes est prévue lundi et la troisiéme mercredi.

         La NASA avait annoncé vendredi sa décision de porter de 12 à 13 jours la mission de Discovery en orbite pour permettre une sortie supplémentaire.

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8 juillet 2006

Le 21éme Siécle, enfin !!!...

La science des extraterrestres©

2005, l’année des explications

par Eric Julien avec son aimable autorisation.
(copyright)

Le centenaire de la relativité restreinte d’Einstein nous donne l’occasion de nous interroger sur les croyances en matière d’OVNI et de paranormal. C’est aussi l’opportunité de présenter la Science des Extraterrestres. Bien plus qu’un livre, il propose un nouveau paradigme : la Relativité Absolue !

La dualité entre la matière et l’esprit fait des ravages d’ignorance dans la compréhension globale de l’univers. La Relativité Absolue est un concept révolutionnaire et pourtant d’une extraordinaire simplicité. Il démontre que matière et esprit sont une seule et même chose, et que l’énergie n’est que l’effet d’une différence entre deux écoulements de temps. Michel Carmassi, docteur en physique, donne le ton dans le N°59 de Parascience de septembre 2005 :

« Si les hypothèses, séduisantes je l’avoue, d’Eric Julien sont vérifiées directement ou indirectement, alors oui, cela expliquerait tout le paranormal, je dis bien tout le surnaturel, plus exactement tout le naturel non encore expliqué, et il faudrait lui donner le prix Nobel de physique ».

La grande majorité des gens se contentent souvent des idées reçues en matière de science, d’ésotérisme et de spiritualité. Pourtant, celles-ci n’ont jusqu’alors jamais abouti à la solution finale et technique permettant d’embrasser dans un même ensemble des conceptions apparemment aussi opposées que le monde matériel et le monde spirituel. L’année 2005 restera certainement marquée par la Science des Extraterrestres dont la traduction dans différentes langues est d’ores et déjà en cours. La meilleure façon de combattre l’ignorance est d’offrir les matériaux de la connaissance à ceux qui se posent des questions. Cette connaissance fut transmise par des extraterrestres. Bien que cet article dévoile plus particulièrement les mécanismes des apparitions d’OVNI, c’est l’ensemble des mystères paranormaux et spirituels que la Relativité Absolue explique.

Envisager l’existence des extraterrestres dans notre environnement est qualifié d’imaginaire et d’irréalisable. Deux limites ont été entretenues pour nous en convaincre. La première est celle du rêve que l’industrie cinématographique a pour but de mettre en image. Ainsi, nous associons inconsciemment une fiction à l’absence totale de réalité. Si c’est au cinéma, ça n’existe pas. La toile fait donc écran. La seconde est celle de la vitesse de la lumière. Nul ne peut aller plus vite que la lumière. Personne ne peut donc venir d’une étoile pour visiter la Terre. Fin de démonstration. Passez votre chemin.

Pourtant, admettre l’existence d’intelligences extraterrestres ne pose pas de problème à la communauté scientifique ! En effet, tout astronome sait parfaitement que les gaz interstellaires recèlent des molécules formant les matériaux de la vie. Dans le foisonnement des galaxies, aux myriades d’étoiles, la vie s’est donc inévitablement développée. Plus près de nous, Mars fut un immense réservoir d’eau, siège d’une vie probable. Les tenants de la thèse darwinienne de l’évolution, théorie conservatrice pour le moins controversée pour ses chaînons manquants comme, à l’inverse, ses absences totales de mutations, sont même les premiers à admettre que l’évolution conduit tôt ou tard à l’intelligence par adaptation à l’environnement. Ce qui ne manque pas de faire sourire les ufologues. En effet, qu’y a-t-il après le stade de l’intelligence humaine ? A quoi l’homme devra-t-il s’adapter dans les prochains siècles ? Les ET sont-ils, comme nous, limités par la vitesse de la lumière ?

La Science des Extraterrestres, en librairie depuis cet été, confirme cette limite. Mais alors que sont les OVNI ? Des illusions ? Un mythe ? Des canulars ? Des méprises ? Des technologies humaines ? Les vrais OVNI sont des vaisseaux extraterrestres. Mais ils ne sont pas spatiaux ! D’abord parce que l’univers lui-même est extraterrestre ! Mais aussi parce qu’il est extratemporel ! L’image du sablier explique ce qu’est la densité de temps, fondement de l’extratemporalité des extraterrestres.


La seconde est une convention arbitraire sur laquelle s’appuient les équations.

Les vrais OVNI sont des vaisseaux extraterrestres.
Mais ils ne sont pas spatiaux !




Dans la réalité, le sable s’écoule à des vitesses différentes. La densité de temps augmente quand l’espace diminue.

La densité du temps est un concept majeur : à une densité de temps donnée correspond une quantité d’informations physiques simultanées donnée. Dans une densité supérieure le nombre d’informations simultanées est plus grand. Plus ce nombre augmente, moins la matière est « solide » car les échanges de l’état considéré s’accroissent…jusqu’à ce qu’il nous devienne physiquement invisible car apparemment trop rapide de notre point de vue de veille.

L’ouvrage, largement aéré par de nombreuses illustrations, fait la démonstration de cette thèse et explique point par point le spectre étendu des étrangetés constatées par des centaines de milliers de témoins, par celles et ceux qui ont osé parler. Pas un de ces mystères ne trouve solution dans la Relativité Absolue. Nous sommes seuls et perdus dans l’espace car ce n’est pas dans l’espace qu’il faut chercher les ET pilotes d’OVNI !

La vitesse de la lumière demeure donc une limite. Mais de quoi ? Revenons en l’an de grâce 1905. Einstein utilisa les travaux de nombreux savants dont Lorentz et Poincaré, pour décrire et comparer le comportement de ce qu’il est coutume d’appeler des référentiels galiléens, c’est-à-dire des repères d’espace et de temps. Il aboutit notamment à la conclusion que l’espace et le temps sont indissociables, que la vitesse de la lumière c est infranchissable et constante dans le vide. Le temps se résume alors à un écoulement d’instants allant du passé vers le futur. Dans cette vision, un effet ne peut précéder une cause. La limite de la vitesse de la lumière devient donc celle de la causalité qui ne peut être inversée.

La Science des Extraterrestres est fondée sur la connaissance intime de la nature du temps. Ce dernier est fondamentalement cyclique et fractal (reproduction à l’identique d’un objet à une échelle différente). Or, un cycle est un processus par lequel un point d’origine est aussi le point d’arrivée. La causalité y fait défaut. Toute la science des hommes, toutes leurs équations ont besoin de la causalité pour expliquer le monde. Expliquer revient à décrire une relation entre deux situations. Mais se peut-il qu’une relation puisse structurellement nous échapper ? Prenez le Big bang. L’univers est en expansion accélérée nous dit-on. Soit. Mais s’il dilate vraiment, pourquoi étudie-t-on l’univers microscopique ? Douloureuse question en vérité…

Dans cet univers, la mécanique quantique n’applique pas le concept de causalité de façon stricte ! Elle utilise les probabilités. La structure de la matière est non seulement immatérielle, car ondulatoire (on ne constate la matérialité qu’à notre échelle spatiale), mais en plus les savants « expliquent » l’univers avec une absence de loi : le hasard ! En quoi le hasard est-il causal ? Un véritable non sens. Une hérésie mondaine. Il est remarquable de constater que, d’un côté, les mêmes probabilités servent la cause du déterminisme des équations (preuves solides) issu de la mécanique statistique de l’infiniment petit, de l’autre et à l’inverse, elles servent la cause du hasard (absence de preuve) réfutant par exemple les résultats des tests parapsychologiques (télépathie, précognition, etc.). Le même instrument conceptuel pour deux logiques opposées ? L’opportunisme scientifique des « rationalistes » frôle souvent la malhonnêteté intellectuelle.

La « rationalité » n’est-elle pas finalement qu’une croyance tenace ? Qu’un parti pris sectaire et irrationnel ? Qu’une opinion, qu’un point de vue d’observateur ? Avant de parler de preuve, il importe d’évoquer sa définition. Or, l’histoire des sciences prouve qu’elle évolue avec le temps ! Alors, preuve du hasard ou hasard de la preuve ? N’est-ce pas notre point de vue d’observateur qui doit changer puisque c’est de ce dernier dont dépend la preuve ? Avant de juger, encore faut-il en être capable ! Ce dont, naturellement, beaucoup sont persuadés…puisqu’ils jugent ! Mais les gens lucides savent qu’une opinion n’est qu’une opinion, fut-elle émise par des « notables ». C’est pourquoi RIEN ne peut remplacer l’expérience personnelle. Comme RIEN ne la rend absolue. La seule voie universelle est donc le partage de l’expérience. Ce qui rend l’interaction des ET avec les humains inévitable. La question du pourquoi étant résolue, reste à savoir comment.

Le principe général de la mécanique quantique est de faire varier les grandeurs physiques par petits paquets, comme si vous comptiez les grains de sable sur la plage. Une onde est avant tout une déformation traversant un milieu, c’est-à-dire de l’espace qui s’écoule dans le temps. La Relativité Absolue suggère que le temps est transporté par les ondes, et non pas que les ondes, phénomène universel s’il en est, se propagent « avec » le temps. Accrochez-vous : bien qu’étant admise par le sens commun, rien n’explique aujourd’hui la propagation des ondes ! Or, la Relativité Absolue décrit pourquoi et comment les phénomènes n’existent que selon l’espace-temps fractal auquel ils appartiennent ou traversent.


Les fractales sont des objets naturels ou mathématiques qui se reproduisent à des échelles différentes. (image de Philippe de Courcy)

Qu’est-ce qu’une fractale ? Imaginez un littoral rocheux comme la Bretagne. La forme générale se reproduit mais à des échelles de plus en plus petites. Pour nous, êtres humains, la côte représentera une certaine distance. Pour la fourmi qui devra suivre les méandres des moindres cailloux, la distance à parcourir sera beaucoup plus longue, longueur intangible pour nous.

Comme l’espace, le temps se reproduit, mais les cycles sont de plus en plus courts jusqu’à une limite imperceptible. Le temps deviendra stroboscopique (alternances de temps perçu). Il existera donc des phénomènes qui nous seront impossibles à percevoir. Or, la réalité semble justement le caractère de ce qui nous apparaît avoir une certaine durée. Cette réalité est donc bien relative ! Les extraterrestres ne cherchent pas à atteindre la vitesse de la lumière mais à la réduire au maximum. Ce qui aura pour effet relatif de nous montrer des accélérations foudroyantes. Paradoxal, n’est-ce pas ?


Les ondes sont des spires de temps. En zoomant sur un quantum de temps on aperçoit une autre série de chronons, et ainsi de suite.

Rien n’explique le caractère quantique de la matière…
à part le temps cyclique !


L’ouvrage terrasse quelques unes de ces évidences gratuites. Vous reprendrez certainement encore de ces délicieuses contradictions. Tenez, servez-vous : rien n’explique le caractère quantique de la matière…à part le temps cyclique ! Vous savez, ce temps qui défie la causalité. En effet, c’est la seule variable qui puisse être logiquement finie, donc quantifiée. D’ailleurs, demandez à un scientifique ce qu’il y a entre deux états quantiques. Le plus souvent, un grand silence de sa part. Ce silence est d’autant plus étonnant que le temps cyclique (spin) est justement ce qui caractérise les électrons et les protons, principaux constituants de la matière !

Mais quel rapport y a-t-il entre le voyage des extraterrestres dans « l’espace » et l’infiniment petit ?

Les vaisseaux extraterrestres ont la capacité de passer des lois macroscopiques aux lois microscopiques en faisant varier l’écoulement du temps, c’est-à-dire le nombre de grains de temps cyclique. A chaque échelle d’espace est associée littéralement une quantité de temps cyclique. Les vaisseaux, dits aveuglément spatiaux, ne voyagent pas dans l’espace mais entre des espaces-temps superposés d’échelles différentes. L’univers est un mille-feuille dont l’entendement global est impossible : à chaque couche ses sens de perception ! Au monde physique, ses cinq sens. Au monde psychique, les siens. Et donc au monde spirituel…ses aveugles !

La loi fondamentale de la Relativité Absolue remplace la séculaire relativité restreinte. Elle se résume en une phrase que n’importe quel enfant de cinq ans peut retenir : « plus il y a de temps, moins il y a d’espace, et inversement ». Ainsi, la vitesse de la lumière est la limite entre deux espaces-temps séparés par leur échelle selon un nombre défini de grossissements, en l’occurrence sept selon J.P Garnier-Malet, docteur en physique ( http://www.garnier-malet.com). De son côté, Laurent Nottale ( http://wwwusr.obspm.fr/~nottale/) , autre docteur en physique, étudie la relativité d’échelle depuis vingt ans. Nombreux sont les savants du temps comme Tifft, Letho, Shikhobalov et autre Venik. Doit-on insister sur la démonstration expérimentale de la densité temporelle dans un mécanisme rotatif par Kozyrev dès les années 50 ? Doit-on rappeler aux neuropsychiatres, adeptes des explications matérialistes, que notre corps physique n’évolue pas à la même vitesse que ce qui le…constitue ? Relisez calmement bien cette question. Si ce n’est pas suffisant, répétez l’opération. Surtout n’hésitez pas. Votre vie risque d’en être profondément modifiée car...

Quelqu’un peut-il dire où et quand se trouve la conscience ? Doit-on redire que la relativité restreinte elle-même affirme ces écarts de perception de l’espace et du temps en fonction de la vitesse ? Qu’est-ce alors que « l’imagination », si ce n’est un état particulier de notre conscience à émettre et recevoir des informations à une vitesse relativiste ? Peut-il y avoir réception, fusse-t-elle par ignorance qualifiée d’imaginative, ailleurs que dans l’espace et le temps, supports de toute perception ? Nous n’en sommes qu’aux balbutiements car la puissance d’abstraction nécessaire est si grande que n’importe quel physicien chevronné peut en perdre son latin. Un simple schéma permet pourtant de se représenter les intervalles de temps de la Relativité Absolue au sein desquels se multiplient des chronons (quanta de temps) plus petits.



Le temps linéaire est une suite de chronons de taille variable. Les plus gros occultent les plus petits. C’est pourquoi le temps linéaire, celui qui s’écoule, vient de l’absence de temps cyclique perçu.

Imaginez des êtres, ET ou non, qui vivent dans des intervalles d’inexistence temporelle de notre point de vue. Ils seront naturellement dématérialisés comme le sont les ondes ! Mais l’univers tiendra alors dans un mouchoir de poche.



Une perspective permet une meilleure visualisation de la superposition du temps quantique. L’écoulement du temps vient des intervalles d’inexistence temporelle (traits mauves) dans les sphères concentriques de l’univers.

Il suffit aux extraterrestres de diminuer l’écoulement du temps pour nous apparaître parfaitement matériels dans notre monde dilaté. Ils y réussissent grâce à la conjugaison de deux formes de pompage temporel largement expliquées dans l’ouvrage, notamment en utilisant des rotors et des champs électromagnétiques tournants. La grande difficulté consiste à appréhender ce qui se produit à l’intérieur d’un système faisant varier l’écoulement temporel. En effet, l’état de la matière en dépend directement ! Nous ne percevons que les différences de densité de temps dans les manifestations de la nature car nous les « voyons » de l’extérieur, depuis une échelle spatio-temporelle déterminée.

Les agences « spatiales », à moins qu’elles ne soient débaptisées, sont les moins bien placées pour aborder les phénomènes extratemporels. En effet, ces « anomalies » ufologiques ne sont pas aérospatiales mais transmatérielles. L’état « matière » est un cas particulier d’un ensemble plus vaste. Il n’y a de « substance rigide » qu’à notre échelle spatiale…et temporelle. Comment prétendre étudier les PAN (Phénomènes Aérospatiaux Non-identifiés) en faisant l’impasse sur l’essentiel ? Sur cette part psychique des manifestations dont la casuistique est extraordinairement plus riche et pourtant délaissée ?

Chaque grain de temps constitue une information, un état. Ainsi, le temps possède une densité. Plus elle est importante, plus il existe d’informations et plus l’intensité des phénomènes sera troublante.

Plus il y a de temps, moins il y a d’espace,
et inversement.


Les hautes densités temporelles sont le siège du psychisme, dont les ET se sont rendus maîtres. Ils s’incarnent à volonté suite à une mutation génétique synonyme de maîtrise des paquets d’informations au sens de l’entropie universelle, qui devient alors néguentropique (informations structurées à l’image de la structure de la molécule d’ADN). C’est d’ailleurs ce qui nous distingue des animaux. C’est aussi ce qui différencie, d’une manière générale, le vivant de l’inerte. Il existe le même écart qualitatif entre le vivant immatériel et le vivant matériel. Les perceptions extrasensorielles, les émotions ou les pensées sont issues des densités de temps les plus élevées dont l’accès dépend de la très complexe structure du réseau neuronal, véritable ascenseur spatio-temporel. C’est également le cas des rêves, apparemment brefs, dans lesquels se produisent quantités d’événements que notre mémoire ne peut retrouver dans le temps physique, d’où leur caractère fugace et incohérent de notre point de vue de veille (densité temporelle plus faible). Ainsi, l’écart entre matériel et spirituel ne provient que d’une différence d’écoulement de temps. La question n’est donc pas d’y croire, ou même de le comprendre, mais d’être apte ou non à « s’élever » ! Autrefois, l’homme était frappé de géocentrisme en se croyant le centre du monde. Se pourrait-il qu’en ce début de millénaire l’homme demeure figé dans le chronocentrisme en s’imposant dans les équations une unité de temps arbitraire ?

Diversité et étrangeté caractérisent les phénomènes OVNI et paranormaux. Ce qui les rend apparemment insolubles. Or, sur la base d’un concept unique transmis par des ET à l’auteur, ce qui constitue un pas décisif en matière d’exopolitique (relations diplomatiques ET/humains), la Science des Extraterrestres présente des explications claires et nombreuses telles que celles qui suivent, extraites de l’ouvrage.

Du reste, ce nouveau paradigme ne se contente pas d’apporter une solution au paranormal. Il explique aussi la masse manquante de l’univers, les anomalies cosmologiques, la structure de l’atome et autres paradoxes quantiques, équations à l’appui. Une fois assimilée la nature du temps, il est aisé de comprendre les effets de l’une de ses trois dimensions, la densité.

Une nef ET est entourée de strates concentriques de bulles temporelles aplaties. Ces bulles sont bien sûr invisibles dans la réalité. Il en est de même des ondes dont nous ne percevons que les effets.

L’écart entre matériel et spirituel ne provient que d’une
différence d’écoulement de temps.


La figure ci-dessous fait apparaître différents sabliers que, par simplicité, nous ne reprenons pas dans la plupart des illustrations. Beaucoup d’entre elles montrent des vues en coupe volontairement réductrices pour en saisir le principe général.



Un vaisseau est entouré de couches différentes d’écoulements temporels.

Attardons-nous sur les moyens d’observation et de perception, qu’ils soient naturels ou techniques. Les OVNI sont silencieux car l’onde sonore émise par l’engin, baigné dans des conditions de haute densité de temps, est progressivement ralentie, donc dilatée en s’éloignant de l’émetteur.



La fréquence des ondes sonores diminue en s’écartant de l’OVNI par effet de variation temporelle. De façon générale, le son éventuel en provenance d’un OVNI est toujours aux limites de l’audible : basses ou hautes fréquences.

Elle devient un infrason une fois sortie des bulles temporelles. D’où leur perception « auditive » par les seuls animaux dotés d’organes spécifiques. Ils manifestent alors de la nervosité ou de la peur, ne comprenant pas d’où vient ce « bruit ».

Le bang supersonique est absent chez les ET car l’air est progressivement ralenti jusqu’au fuselage. Le temps passe plus lentement dans les bulles temporelles successives. Le mur du son n’existe tout simplement pas. Du reste, un vaisseau ET n’est pas à proprement parler « volant ». Il n’entre pas dans le cadre des lois aérodynamiques du vol (force de sustentation). C’est pourquoi les OVNI sont ONI…




Il n’existe pas de couche limite sur laquelle l’onde choc pourrait naître.

Dans la perception « visuelle », les écarts sont également compréhensibles. Les champs temporels autour de l’OVNI respectent la Relativité Absolue : « plus il y a de temps, moins il y a d’espace, et inversement ». Ainsi, selon l’intensité et l’influence de ces champs, la perception des témoins variera pour le même objet. Un vaisseau sera plus ou moins lumineux, plus ou moins grand, plus ou moins matériel. D’où les rapports divergents des témoins. Si les abductés (« enlevés ») s’étonnent de l’énorme dimension intérieure, elle n’en est pas moins explicable : la taille des OVNI est relative au référentiel temporel. Ils sont petits hors du champ, grand à l’intérieur.



La perception des distances, tailles et formes dépend de la situation de chacun des témoins et de la densité temporelle instantanée de l’OVNI.

Les moyens techniques d’observation sont à la même enseigne. Les photographies d’OVNI sont plus ou moins floues. Les bulles temporelles sont équivalentes à la capture d’un objet en mouvement rapide même si l’OVNI est stationnaire.



Comme pour la vitesse, les espaces-temps sont des rapports d’espace sur le temps. Une photographie capture donc l’état vibratoire immédiat de l’avant-plan.

Haute densité de temps rime avec vision psychique du témoin, vision qu’un ET peut influencer. Beaucoup d’apparitions passées ressemblaient au niveau technique de l’époque : chars, dirigeables, etc. Ces visions étaient produites par les ET avec le consentement de notre subconscient, siège des formes-pensées longtemps émises, multipliées et consolidées par nos croyances, c’est-à-dire notre « imagination » du moment. En fait, imagination = création d’informations = réalité. Faisons en effet remarquer qu’il n’existe que création dans l’univers. Il n’y a aucune réalité sans création car la réalité EST création, quelle qu’en soit l’origine. Tentez de démontrer l’inverse ! Je vous souhaite bon courage. C’est précisément tout le problème de la perception qui se superpose à notre propre créativité psychique qui est à la fois légitime, naturelle et universelle, donc logique. Donc toute perception est VRAIE mais plus ou moins partagée ! C’est pourquoi la Réalité est Illusion et inversement. A nouveau, relisez lentement ce qui précède car bien des débats pourraient s’apaiser. Les formes « réelles » des vaisseaux ET, dans les témoignages contemporains, coïncident avec la diffusion massive des appareils photographiques qu’une émission psychique ne peut influencer car n’ayant pas accès aux plus hautes densités de temps. Les ET n’ont a priori plus besoin d’adapter notre perception et se présentent de plus en plus tels qu’ils sont de leur point de vue. Libérée des croyances créatives (description déformée des témoins au cours de l’histoire), tout n’est donc, pour l’humanité, qu’un problème de maturité perceptive, y compris psychique et spirituelle !

Les extraterrestres ne font rien d’autre que de
respecter les lois de la nature.


Les radars émettent des ondes que les corps matériels réfléchissent. Un module de détection reçoit en retour une faible portion de ces ondes qu’il amplifie et traduit sous forme de plot lumineux. Mais le train d’ondes émis rencontre alors un champ temporel qui fait varier la fréquence elle-même, et non la direction des ondes (cas de la technologie furtive de nos avions). Si cette modification est trop grande, la nouvelle fréquence sortira du spectre du radar. Les vaisseaux matériels, bien que confirmés par des témoins visuels, ne sont pas toujours détectés par une station : les fréquences radar sont inférieures aux fréquences lumineuses.



Les ondes (spires de temps) d’un radar sont modifiées en entrant dans le champ temporel d’un vaisseau. Sa détection est erratique.

Plusieurs effets secondaires découlent des lois maîtrisées par les ET. Les faisceaux de lumière tronqués sont un de ceux-là. Leur longueur est incluse dans le champ temporel du vaisseau. Au-delà de la bulle, comme pour les ondes sonores, la lumière disparaît pour descendre dans l’infrarouge.



La bulle autour d’un vaisseau est la limite naturelle d’un faisceau lumineux émis dans une densité de temps déterminée. Au-delà, la fréquence « rougit ».

Les OVNI peuvent se cacher dans les nuages qu’ils forment eux-mêmes. Le champ temporel crée une zone de froid par application d’un condensat Bose-Einstein. Une condensation de la vapeur d’eau (principe très différent) se produit alors autour de la nef comme lorsque vous sortez une bouteille d’eau fraîche d’un réfrigérateur. Une brume, un brouillard et un même un nuage dense peuvent apparaître en fonction des conditions extérieures.



Le froid régnant autour d’un vaisseau engendre une condensation de la vapeur d’eau jusqu’alors invisible et l’occulte dans un nuage en fonction des conditions atmosphériques.

Après les phénomènes de perception, attachons-nous à la technique proprement dite. La sustentation des nefs semble prodigieuse. Or, les ET ne font rien d’autre que de respecter les lois de la nature. La force de gravitation, comme toute force ayant besoin d’un point d’application, contrairement à celles de la mécanique quantique, s’écrit F=m.a. Soit une masse par une accélération. Cette dernière est une distance sur un temps au carré. Donc plus le temps augmente, plus la force diminue ! L’antigravité des ET est en réalité une dégravitation. Toute la difficulté est de savoir produire plus de temps localement. La solution se trouve dans la technologie.



La gravitation potentielle (flèche) est annulée (tube sans direction au-dessus). La dégravitation croît comme le temps au carré.

Une nef ET est constituée d’un double rotor à rotation inversée, d’un réseau supraconducteur, d’un oscillateur central et d’un tore périphérique. La place manque ici pour rédiger la description détaillée que l’ouvrage en fait.



Quatre technologies : double rotor, supraconducteurs, oscillateur et tore.

Les vaisseaux ET sont capables de matérialisation et de dématérialisation, en mouvement ou sur place. Elles sont dues aux variations de l’intensité du champ temporel. Il est capital de comprendre qu’une telle nef n’a AUCUNE PROPULSION au sens classique du terme.
C’est le jeu conjugué de la direction adoptée et de cette variation qui provoque et permet le mouvement et la navigation. Une fois l’orientation stabilisée et l’impulsion initiale du mouvement donnée, l’augmentation de l’intensité du champ temporel réduit la taille de l’univers dans lequel les ET voyagent. C’est en fait la destination qui se rapproche du vaisseau !

L’espace n’est alors ni isotrope ni homogène. Il s’agit d’une maîtrise pure et simple de l’espace et du temps. Ce qui importe est de saisir le mécanisme de changement de direction. Il est assuré par les deux rotors à rotation inversée.
L’assiette d’un OVNI est dictée par un différentiel temporaire de vitesse de rotation des rotors pris séparément. Ce déphasage explique le comportement en feuille morte décrit par les témoins. Des effets gyroscopiques bien connus produisent alors des changements de cap dans les trois dimensions de l’espace.
Aucune considération aérodynamique n’est utile pour piloter un vaisseau ET, pas même la MHD (MagnétoHydroDynamique). Retenons simplement que les accélérations foudroyantes sont des illusions dues au changement de densité de temps du vaisseau.



La matérialisation et l’accélération des OVNI ne sont qu’un simple problème de variation de l’intensité de densité temporelle. L’accélération semble d’autant plus grande que la nef se réduit.

Aucune considération aérodynamique n’est utile pour piloter un vaisseau ET, pas même la MHD




La variation de l’assiette d’un OVNI est due à un différentiel rotatif entre les deux rotors à rotation inversée.

LES CROP CIRCLES


Parlons des vrais crop circles, ces cercles dans les blés qui apparaissent avant la moisson. Ils sont bel et bien le produit de la créativité des ET.

Ces agroglyphes sont réalisés dans des conditions parfaitement identifiables avec le même et unique principe. Un vaisseau de la taille d’une grosse luciole (parfois invisible), taille adaptée à une exécution rapide de l’œuvre, crée une zone de froid au-dessus du champ de blé. Ce faisant, une légère condensation apparaît permettant aux céréales d’absorber cette humidité en conjugaison avec une émission « naturelle » de micro-ondes (le spectre électromagnétique universel est le domaine de vol des ET). Cette situation ramollit et ionise le blé. Celui-ci est contracté dans le champ temporel du vaisseau lorsque ce dernier passe au-dessus (« plus il y a de temps, moins il y a d’espace »). Le premier nœud est alors mécaniquement étiré et cuit.



Ici, les différentes phases d’un épi. L’échantillon témoin (à gauche) voit sa taille réduite par le champ temporel (le second épi et les suivants vers la droite (il s’agit du même épi vu par étapes).

L’OVNI décrit une trajectoire conforme à la forme à produire. Il aspire les épis mous et ionisés dans son champ magnétique. Une fois l’influence dégravitationnelle passée, ils n’ont plus qu’à se coucher. Certains épis seront enchevêtrés dans les zones d’intersection de l’influence du vaisseau. En effet, les épis déjà couchés vont à nouveau se soulever, s’orienter de côté lors du passage décalé du vaisseau-luciole et se mêler aux épis voisins.




Les ions (tige centrale en coupe) remontent vers le sommet induisant un effet mécanique de chute. L’ionisation des blés est faible, mais le champ magnétique de l’artiste est considérable.

Ces éclaircissements, ici très fragmentaires par rapport à l’ouvrage, constituent aux yeux de beaucoup une avancée spectaculaire dans la compréhension du phénomène OVNI, et même au-delà.

La guerre des mondes aura-t-elle lieu ? N’est-elle pas que l’expression de notre peur de l’inconnu, de notre incompréhension des lois intimes de l’univers ? Jadis, les éclairs de l’orage représentaient la colère des dieux. Aujourd’hui, les manifestations ufologiques produisent en nous des réactions de survie et, partant, d’agressivité. D’où notre rejet immunologique, d’où cet exorcisme de masse dans les salles sombres.

La lumineuse vérité ne peut faire peur qu’à ceux qui ne cessent de justifier leurs croyances. Pas à une démocratie libre, responsable et entreprenante.
La Science des Extraterrestres devrait assouvir notre soif d’évoluer vers le niveau de ceux que nous craignons par ignorance. Si la connaissance protège c’est parce qu’elle libère. Y compris de la médisance.
Le progrès reconnaîtra les siens. C’est une question de temps…



Livre majeur : la Science des Extraterrestres par Eric Julien, paru en juillet 2005 aux Editions JMG (450 pages), présente une « théorie du tout » expliquant concrètement les mystères scientifiques, paranormaux et ufologiques dans un langage accessible, direct et abondamment illustré (plus de 140 figures). Sa portée philosophique est incalculable.


Présentation de l’ouvrage par l’éditeur :

« Voici enfin l’ouvrage événement qui apporte la solution aux mystérieux Ovnis ainsi qu’aux phénomènes paranormaux. Après plus d’un demi-siècle d’investigations, Eric Julien apporte – enfin – une solution globale et scientifique au plus grand défi qui ait été lancé à la science ! Pour Eric Julien, la nature fractale du temps et ses trois dimensions conduisent à l’émergence d’une théorie globale révolutionnaire : la Relativité Absolue !
Scientifiques, mais à la portée du grand public, les explications contenues dans ce livre qui fera événement, sont d’une rigoureuse précision. Elles nous éclairent sur les errements de la science et offrent une authentique compréhension de la technologie des extraterrestres que l’auteur, schémas à l’appui, appelle ExtraTemporels.
D’une prodigieuse cohérence, tant pour les phénomènes inexpliqués par la science moderne à l’échelle des galaxies qu’à celle des atomes, la Science des Extraterrestres expliquent toutes les situations étranges : antigravitation, propulsion des Ovnis, enlèvements par des extraterrestres, formation des crops circles, phénomènes lumineux étranges, poltergeists, fantômes, survie post mortem et autre voyage dans le temps. Tous ces phénomènes s’expliquent par un concept unique.
Ayant fait l’objet d’une étrange omerta parce qu’il dérangeait certains milieux, cet ouvrage engendrera, à n’en pas douter, une révolution philosophique.

L’auteur fut élève pilote de chasse, contrôleur aérien militaire, pilote de biréacteurs dans l’aviation d’affaires, chef d’escale en compagnie aérienne et cadre d’exploitation dans les grands aéroports parisiens. Titulaire d’un Diplôme d’Etudes Supérieures Spécialisées en Sciences Economiques sur les nouvelles technologies, il a suivi une formation de directeur d’aéroports internationaux à l’Ecole Nationale de l’Aviation Civile. Il affirme avoir eu des contacts avec les extraterrestres et partage dans cet ouvrage sa compréhension de l’univers ».


La Science des Extraterrestres, Eric Julien, JMG éditions, ISBN 2-915164-57-6, juillet 2005
à lire absolument si vous aimez la science et éclaircir de beaux mystères.

Les images et textes présents sur ce site sont la propriété de leurs auteurs respectifs, merci de la respecter.
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2 juin 2006

Toi ! Je Te Vois !

26 mai 2006

L'Oeuf a précédé la Poule!

la_n_buleuse_de_la_t_te_de_chevalUn Britannique a résolu l'énigme: l'oeuf a précédé la poule

Des oeufs et des poules
vendredi 26 mai 2006

- Un philosophe et scientifique britannique a résolu l'énigme qui hante l'humanité depuis toujours en affirmant que l'oeuf a précédé la poule, selon la presse londonienne.

La clé de l'énigme millénaire se trouve dans le fait que le matériau génétique n'évolue pas durant la vie d'un organisme vivant, par conséquent le premier oiseau à devenir une poule a du d'abord exister en tant qu'embryon à l'intérieur d'un oeuf.

Pour le professeur John Brookfield, de l'Université de Nottingham (est de l'Angleterre), l'organisme vivant à l'intérieur de l'oeuf devait avoir le me ADN que la poule qu'il allait devenir.

M. Brookfield, spécialiste de la génétique évolutive a affirmé à plusieurs quotidiens : "Nous pouvons en conclure sans aucun doute que la première matière vivante membre de l'espèce doit être cet oeuf. L'oeuf était cessairement avant la poule".

Les conclusions du professeur Brookfield ont reçu le soutien du professeur David Papineau du King's College de Londres, ainsi que du président de la fédération britannique des éleveurs de poulets (Great British Chicken), Charles Bourns.

Selon M. Papineau, philosophe des sciences, le premier poulet a du sortir d'un oeuf pondu par une autre espèce, mais il s'agissait bien d'un oeuf de poule parce qu'il contenait l'embryon d'un poulet. "La conclusion par conséquent est que l'oeuf êtait avant la poule", a-t-il soutenu.

Pour M. Bourns, représentant la profession des aviculteurs, dont les propos sont rapportés par The Times, The Daily Mail et The Independent, "les oeufs ont du exister bien avant la naissance du premier poussin".

14 mai 2006

" Nicolas, parce que je le Vaux bien ! "

jett__de_barri_re   

Femmes, envie de vous exprimer ? envie de vous engager ?

A l’occasion de la Journée Internationale des femmes, j’ai voulu offrir à toutes les femmes un espace d’expression, de témoignage et de dialogue, sans aucun tabou, qui leur soit entièrement consacré.

J’ai choisi de vous donner la parole.

A quelles réalités personnelles, familiales, professionnelles êtes-vous confrontées au quotidien ? Comment envisagez-vous aujourd’hui votre vie professionnelle ? Quelles sont les injustices et les discriminations que vous rencontrez encore ? Comment vous aider à concilier toutes vos vies ? Comment permettre à celles d’entre vous qui le souhaitent d’accéder à plus de responsabilités ? Comment accroître votre place et vous faire mieux entendre dans la vie politique française ?

Vos témoignages, vos attentes, vos critiques, vos suggestions seront utiles. Ils nous permettront d’être à votre écoute et de mieux vous comprendre.

C’est tout le sens de ce site.

A vous de le faire vivre !

Posté par Nicolas Sarkozy 
            

14 mai 2006

V'la l'Prinremps et c'est l' Eté !

paquerette_1   Paquerette *µ*µ**µ***

                                              Paquerette ***µµµµ**µ* 

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De Toutes les Douleurs !
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